personnen'osera penser que. je suis capable d'accomplir de grandes choses. je sais que. je raterai tout ce que j'entreprendrai. je ne crois plus que. je peux réussir. je suis persuadé que je ne vaux rien. j'ai arrêté de dire que. j'ai confiance en moi.
Caroline Coldefy Itinéraire d’un éveil à la spiritualité Bernard Campan, Alexandre Jollien, Olivier Delacroix… Ils partagent leur expérience Le témoignage bouleversant d’un éveil spirituel, illustré de nombreux récits de personnalités médiatiques. C’est quoi au juste la spiritualité ? Un chemin de transformation, un chemin qui parle de transcendance, de voir ce qui se passe derrière la réalité. Un chemin d’acceptation. Un chemin qui relie aux autres. Un chemin qui calme l’égo. Un chemin en lien, ou pas, avec une croyance religieuse. Et c’est quoi l’éveil ? L’entrée dans une nouvelle conscience où il est donné à des êtres humains d’expérimenter des moments de grâce. Ils sont traversés par quelque chose qui les dépasse, une entrée de l’Infini dans leur monde quotidien. Difficile de définir quelque chose qui est de l’ordre de l’intime et de l’indicible. Caroline Coldefy raconte comment, dès l’adolescence, une profonde détresse et un immense vide intérieur l’amènent à sombrer dans les paradis artificiels. Une descente aux enfers qui durera de nombreuses années, jusqu’au moment où sa vie bascule, d’abord en adoptant sa petite fille au Kazakhstan, puis le jour où, lors d’une retraite dans un monastère, elle ressent pour la première fois une connexion avec une puissance supérieure à elle. Dieu ? Mahomet ? Bouddha ? Jésus ? Le plus grand ?… Débute alors un chemin de transformation qui ne la transforme pas en Sainte Caroline mais la ramène vers la vraie Caroline. Une aventure qu’elle n’avait pas envisagée une seconde, elle, la parisienne qui travaillait dans les médias. Avec ce livre, Caroline Coldefy est partie à la rencontre d’hommes et de femmes dont la vie a aussi été bouleversée par cet éveil spirituel ». Qu’il s’agisse d’inconnus ou de personnalités comme Bernard Campan, Olivier Delacroix ou Alexandre Jollien, tous témoignent d’une grande souffrance, d’une prise de conscience et d’une renaissance à nulle autre pareille. Pas de conseils, ni de manuel du parfait éveillé » dans le récit de ces rencontres d’une profonde sincérité mais plutôt un message universel, au-delà des religions quel sens donner aux épreuves qui jalonnent notre vie ? Pourquoi ce livre ? En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant. Nelson Mandela La spiritualité il y a quelque temps encore, ce mot, dont je ne connaissais pas la signification, me semblait réservé aux penseurs, aux gens intelligents, aux intellos, bref, à tout le monde sauf à moi ! D’ailleurs, c’est quoi au juste la spiritualité ? Difficile de donner une définition précise qui mette tout le monde d’accord et englobe l’ensemble des subtilités de ce concept. Le mot est devenu récemment une notion un peu fourre-tout qui demande à être précisée. Si le dictionnaire Larousse propose comme définition Ce qui concerne la doctrine ou la vie centrée sur Dieu et les choses spirituelles », pour certains d’entre nous, la spiritualité est un chemin de transformation, un chemin qui parle de transcendance, de voir ce qui se passe derrière la réalité. Un chemin d’acceptation. Un chemin qui relie aux autres. Un chemin qui calme l’ego. Un chemin en lien, ou pas, avec une croyance religieuse. Moi, je ne sais pas vraiment. J’aime la définition qu’en fait Benoît Billot, un moine bénédictin spécialiste du dialogue interreligieux. Pour lui, la spiritualité part d’une expérience individuelle, comme il me l’a confié Un éveil, c’est l’entrée dans une nouvelle conscience. Jusque-là, l’Homme gérait sa vie tant bien que mal, souvent enfermé dans les problèmes du quotidien, souffrant, parfois, de la limitation de son horizon. Et puis vient un éveil comme si on passait de 2 en 3 D. Un nouveau monde se révèle à lui, d’une gratuité sans limite, donnant un sentiment de plénitude et d’accomplissement et appelant un changement de vie parfois important. Il est donné à des êtres humains d’expérimenter des moments de grâce où ils sont traversés par quelque chose qui les dépasse, une entrée de l’Infini dans leur monde quotidien. La religion, c’est autre chose, c’est un ensemble de pratiques, de rites, de dogmes et règles qui dicte une conduite morale. » De jolis mots et de beaux concepts qui n’ont fait partie ni de mon vocabulaire, ni même du champ de ma conscience pendant des années. Pourtant, il y a cinq ans, à la faveur d’une retraite dans un monastère pour faire le point sur ma vie, j’ai pour la première fois ressenti une connexion avec une puissance supérieure à moi, un Dieu auquel je ne savais pas encore donner de nom. Depuis, je me sens sur un chemin de transformation. J’ai le sentiment d’être au début d’une véritable aventure que je n’avais pas envisagée une seconde, moi, la Parisienne qui travaille dans les médias. Une aventure qui ne me transforme pas en sainte Caroline mais qui, sans nul doute, m’amène vers la vraie Caroline. A propos de l’auteure Journaliste de télévision, passionnée par les faits de société et les témoignages, Caroline Coldefy a débuté au service informations générales d’Europe 1, avant de travailler pour le magazine Zénith de Canal Plus. Elle a ensuite été rédactrice en chef de ça se discute sur France 2 pendant plus de 10 ans. Elle travaille aujourd’hui chez Galaxie Presse, une société qui produit des documentaires et des magazines pour différentes chaînes de télévision. Par ailleurs, elle pratique quotidiennement le yoga et la méditation. Découvrez le livre Et enfin la vie prend tout son sens » en cliquant ci-dessous Cet article pourrait intéresser un de vos amis ami ou un de vos proches ? N’hésitez pas à le partager. Le Partage c’est La Vie !!! You have Successfully Subscribed!
Parcoureznotre sélection de prends toute la vie : vous y trouverez les meilleures pièces uniques ou personnalisées de nos boutiques.
Noté sur 5 basé sur 18 notations client 19 avis client € En cette période de grands changements, l’être humain vit dans une société qui le confine dans un contexte qui ne lui correspond pas vraiment. De l’enfance à l’âge adulte, l’être humain est-il vraiment lui-même?… Auteur Conrad 244 pages – 15×21 cm – couverture en relief editeur Le Souffle des Mondes ISBN 978-2-9527812-0-6 EAN 9782952781206 paiement sécurisé Description Informations complémentaires Avis 19 Description 4 ème de couverture En cette période de grands changements, l’être humain vit dans une société qui le confine dans un contexte qui ne lui correspond pas vraiment. Cette société pseudo moderne» qu’il a créée l’empêche même en grande partie de faire un cheminement vers lui-même, de se connaître et de prendre conscience du Soi » profond. Il est obligé d’être ou de paraître selon une image faussée qui n’est pas forcement individuelle, mais plutôt stéréotypée. Il marche ainsi sur un chemin de comparaisons et d’identifications, créant division, désunion et dualité en soi et au delà de soi, au lieu d’unité. De l’enfance à l’âge adulte, l’être humain est-il vraiment lui-même? Prends Conscience, et Avance… Dans ses écrits, par sa vision empreinte de sagesse et de simplicité, Conrad nous invite et nous aide à améliorer notre façon de penser, de voir et d’agir. En toute humilité, il nous ouvre des portes sur nous-même et sur tout ce qui nous entoure. Conrad nous permet aussi de comprendre que les éléments, la nature, chaque être vivant et chaque instant de vie offrent de merveilleux enseignements, dans la vérité de l’instant présent, à chaque moment, à chaque pas sur notre chemin, nous permettant également de trouver Paix et Harmonie avec le Soi » intérieur, d’une manière simple, authentique, et qu’il est essentiel de découvrir pour notre évolution personnelle, collective et pour l’Humanité. Un chemin vers Soi, vers le Tout, vers lUnité, en Conscience . . . L’un des plus beaux et nobles chemins que l’être humain puisse accomplir, c’est celui qui le mène vers lui-même.. » Prends Conscience, et Avance… Autre livre du meme auteur Un Même Souffle Informations complémentaires Poids kg Dimensions 025 × 15 × 21 cm
mariagesombre. Alors cette histoire est 100% réel car elle m'a été raconté par ma mère et qu'elle c'est transmise depuis plusieurs générations . Cette histoire se déroule à l'époque de la grand mère a ma mère ( oui sa date ) , elle c'était rendu à un mariage qui se déroulait pas très loin d'un cour d'eau . Le mariage se Parole du Seigneur Toi, Israël, mon serviteur, Jacob que j'ai choisi, descendance d'Abraham mon ami aux confins de la terre je t'ai saisi, du bout du monde je t'ai appelé ; je t'ai dit Tu es mon serviteur, je t'ai choisi, je ne t'ai pas repoussé. Ne crains pas, car je suis avec toi ; ne jette pas ces regards inquiets, car je suis ton Dieu. Je t'affermis et je t'assiste, je te soutiens de ma main victorieuse. Je suis le Seigneur ton Dieu. Je te prends la main droite, et je te dis Ne crains pas, je viens à ton secours. » Ne crains pas, Jacob, faible vermisseau, Israël, misérable mortel. Je viens à ton secours, déclare le Seigneur ; ton rédempteur, c'est le Dieu Saint d'Israël. Les petits et les pauvres cherchent de l'eau, et il n'y en a pas ; leur langue est desséchée par la soif. Moi, le Seigneur, je les exaucerai, moi, le Dieu d'Israël, je ne les abandonnerai pas. Sur les hauteurs dénudées je ferai jaillir des fleuves, et des sources dans les ravins. Je changerai le désert en lac, et la terre aride en fontaines. Je mettrai dans le désert le cèdre et l'acacia, le myrte et l'olivier ; je mettrai dans les terres incultes le cyprès, le pin et le mélèze, afin que tous regardent et reconnaissent, afin que tous considèrent et découvrent que la main du Seigneur a fait tout cela, que le Dieu Saint d'Israël en est le créateur.
RésuméRESPONSABLE DE SECTEUR - SUD TOULOUSE (H/F), 31000 Toulouse, CDI., Temps plein. Secteur : Internet Fonction : Information Technology Description du poste Description de l'entreprise Trouvez le bon plan carrière chez leboncoin ! Nous sommes de ceux qui pensent que le bonheur se partage et se transmet. Nous
J'ai besoin d'écrire car cela me bouffe l'esprit, je me rends malade. C'est pourquoi j'ai besoin de vos avis extérieurs. voici ma "longue" histoire Il y a 6 ans, mon mariqui était à l'époque mon copain depuis qq moiset moi, au cours d'une sortie entre potes, on a sympathisé avec une fille de notre âge j'ai 32 ans. Le contact entre nous est tout de suite bien passé, je dirai surtout entre elle et moi, moi j'étais super contente d'avoir une amie On a les mêmes délires, on se ressemble un peu dans la façon d'être un peu timides, de manquer de confiance en soi, bref on s'était bien trouvées ! Plus les années passent, entre sorties et activités ensemble, on devient de plus en proches et elle est mon témoin à mon mariage. Elle, je ne l'ai connu que célibataire. Je ne lui ai jamais su d'histoires, même des petits flirts, sauf une fois, mais c'est le garçon qui n'était pas intéressé. Mais voilà, qu'il y a qq mois, je la prends en grippe ! Quand on fait des sorties entre potes, j'ai remarqué qu'elle parlait souvent avec mon mari. Je ne pense pas qu'elle le fasse dans l'intention de le draguer, seulement ben elle parle avec lui. Cela se trouve, ils parlaient peutetre déjà beaucoup ensemble, je ne sais pas et c'est là que j'y fais gaffe ! Je sais qu'ils s'entendent bien, qu'ils ont qq points d'intérêt communs... et j'enrage.... Quand on est au resto à plusieurs, j'ai remarqué qu'elle s'asseyait toujours à côté de nous ou à côté de lui peut-être le faisait-elle il y a qq années avant et que je n'y faisais pas gaffe !. ET du coup, je me fais des films "je me dis que mon mari aurait dû l'épouser elle, qu'ils font un joli couple, qu'ils ont des choses en commun" ou je me dis que je vais tomber malade ou mourir du jour au lendemain, et qu'elle, pour le consoler, viendrait le voir, et hop, ils sortent ensemble, sont en couple, et tous nos amis trouvent ça normal ! je me dis qu'elle n'attend que ça pour sortir avec lui...que cela fait qud même 6 ans qu'elle est célibataire, sans petit copain, vous trouvez pas ça bizarre ? Bref, ces pensées négatives me bouffent l'esprit, je n'arrive pas à penser à autre chose, je vous rassure que même si je me fais des idées, cela va bien dans mon couple, je veux dire que mon mari ne me délaisse pas, on s'entend très bien. C'est MOI toute seule qui me met dans cet état de nerfs, dans cet état de perte de confiance de soi ! Est-ce que cela vous ait déjà arrivé ? comment vous avez fait pour vous en sortir. Peut-être faut-il qu'on la voit moins ? Quand on fait des sorties ensemble, j'essaie d'être naturelle, mais je lui en veux à cette amie alors qu'elle, cela se trouve ne se doute de rien et vis sa vie tranquille et moi je vais mal... j'ai besoin de vos avis extérieurs, objectifs pour me remonter le moral, je me sens enlisée.... merci
Prendsle temps de savourer la vie car vois-tu la vie dans son essence est savoureuse. Prends le temps de regarder toi ce qui t'entoure, tout ce qui t'entoure. Prends le temps de voir la beauté en toi et autour de toi. Ce monde n'est pas parfait dans le sens de la perfection d'Amour, toi non plus tu n'es pas parfait encore, mais au-delà de l
Audio Preview 42 Views DOWNLOAD OPTIONS IN COLLECTIONS Uploaded by EBEVICTO on October 26, 2020 SIMILAR ITEMS based on metadata
Jeprends le large Jealousy Juste un rêve La liberté La musique est mon ange La paix Laissez-nous chanter [Live] (Goldman / Fiori / Clerc / Youn / Lorie / Laroque / Foly / Tal / Ségara / St-Pier / Nolwenn Leroy / Zazie) L'amour me donne des ailes Le droit de rêver Le guitariste Le passé Le sens de la vie Le sens de la vie (Tal feat. L
Prends soin de toi » remplace peu à peu le Sois prudente » lancé au moment des adieux. Mais qu’est-ce que prendre soin de soi ? Et pourquoi cette recommandation, comme une injonction pour pallier un manque d’attention à ses besoins qu’aurait lea voyageureuse une fois sur les routes ? Bref, que cache ce Prends soin de toi » ? La bonne route et la bonne étoile Avant, on disait Que Dieu te garde » expression que nous entendons encore en Amérique latine et Que tout se passe bien ». Maintenant, plus de Dieu ou de bonne étoile à qui s’en remettre. Juste soi. Et cette vague idée du tout » et du bien ». Qu’est-ce que c’est qu’un voyage qui se passe bien ? Cette idée ne se limite certainement pas à la réalisation du voyage tel qu’il était prévu, comme j’en ai déjà parlé dans l’article Le mythe du voyage parfait. Non, on touche à autre chose que de l’organisationnel. On se dirige davantage du côté de la santé, de la sécurité et du bienêtre. Ce Prends soin de toi » est lancé comme une amulette pour protéger le voyageur à son départ. Une amulette pour conjurer un sort ? Celui de s’oublier sur les routes, de se négliger, de ne pas prendre soin de soi… On dit rarement Prends soin de toi » à quelqu’un qui part travailler. Pourquoi cette crainte liée au voyage ? Pourquoi le voyage fait-il peur ? La famille et les amis sont souvent plus inquiets que le voyageur, la veille d’un grand départ. Sois prudente, donne de tes nouvelles, tu as bien tout ce qu’il te faut ? ». Les conseils et recommandations pleuvent avec, toujours, formulé plus ou moins explicitement, l’idée de prendre soin de soi. Jusqu’il y a peu, cela ne me faisait pas particulièrement réagir. Une formule comme tant d’autres… Mais récemment, je suis allée dans les Alpes françaises, aux Menuires, assister à une semaine de conférences et ateliers dédiés au bienêtre la Yogiski Week. Et cela m’a fait réfléchir. J’ai rencontré des professionnels qui prônaient le bienêtre sous différentes formes et approches. J’ai croisé la route de personnes en souffrance ou en épuisement de ne s’être pas assez écoutées, de n’avoir pas assez pris soin d’elles. Des femmes et hommes qui se sont investies dans une vie et un rythme quotidien qui les ont dépassées. Et là je me suis dit, pourquoi ne souhaite-t-on pas au sédentaire, dans sa vie de tous les jours, de prendre soin de lui ? Pourquoi est-ce une formule que l’on m’offre uniquement au moment de mes départs ? Sans doute parce que le voyage fait peur. Il vient couper le rythme de la vie sédentaire. Offrir une parenthèse qui peut ébranler tant le voyageur que son entourage. On sort la tête des rouages, on remet certaines choses en perspective ou en question. On prend le temps de s’arrêter et, tout simplement, de respirer. La peur liée au voyage vient également chatouiller notre rapport à l’inconnu et à ce monde hors de notre fameuse zone de confort. L’ici et maintenant, même s’il n’est pas parfait, a l’avantage d’être connu. On sait à quoi s’attendre. D’où la force des résistances au changement. L’ailleurs et le futur, quant à eux, sont pleins de points d’interrogation, comme autant de possibles en suspens. Et gérer l’incertitude, dans notre société d’exactitude, ce n’est pas toujours évident. Alors, pour contrer la peur du voyage, l’inconfort de la remise en question de notre quotidien, l’angoisse de l’inconnu… on nous dit de prendre soin de nous. Une formule qui vient boucher tous ces vides et leur donner une solution miracle. Prétendre que tout est sous contrôle sous notre contrôle. Si nous faisons ce qu’il faut, nous conjurerons le sort. Qu’est-ce que prendre soin de soi ? Maintenant que je sais pourquoi tant de fois cette amulette Prends soin de toi » m’a été offerte avant un voyage, maintenant que je la tiens au creux de mes mains, j’ai envie d’aller plus loin. De l’examiner plus en détail. Que veut-elle me dire ? Qu’est-ce que cela signifie de Prendre soin de soi ». Un peu comme le bonheur, c’est une notion qui a l’air à la fois fourretout et très personnelle. C’est toujours très difficile de définir ce genre de notion lorsque l’on reste centrée sur soi. Par contre, avec un pas de côté, la question prend un tout autre sens. Prendre soin des autres, c’est plus évident à se représenter. Prendre soin d’un enfant. Prendre soin de ses invitées. Les aider, leur offrir une certaine sécurité, un confort. Répondre à leurs besoins et même, si possible, les devancer. Les entourer de bienveillance aussi. On oublie souvent ce petit mot bienveillance. Et si c’était la clé du bienêtre, la clé de cette amulette Prends soin de toi » ? La bienveillance Être bienveillant, envers soi et les autres. De plus en plus, je me dis que c’est une clé. Une clé importante du bienêtre et du bienvivre. Une clé qu’on oublie souvent et qui se voit reléguée au monde des hippies bobo, décrédibilisée. Comme si elle n’avait pas sa place dans notre société. D’où, aussi, sa réapparition lorsque l’on quitte la société pour partir en voyage… Je vous invite à regarder la vidéo de Et tout le monde s’en fout » sur la bienveillance Être bienveillant à son égard, c’est souvent plus facile à dire qu’à faire. Il a cette satanée voix dans nos têtes qui nous critique sans cesse. Sur notre physique, notre façon de nous comporter et de parler, notre capacité à atteindre à objectif ou à réaliser un rêve. Cette petite voix qui nous souffle que nous ne valons pas grand-chose ou moins que les autres. Tout le monde ne l’entend pas constamment ni avec la même intensité. Mais je pense que tout le monde connait cette petite voix. Et quelle aberration ! Imaginez-vous parler à quelqu’un d’autre comme vous vous parlez à vous même. Vous regarder dans le miroir et vous dire que vous êtes moches. Ne pas trouver vos mots lors d’une conversation et vous dire que vous êtes stupide. Casser un objet et vous dire que vous êtes une incapable… Non, jamais vous ne feriez cela ! Vous auriez même tendance à entourer l’autre de messages positifs Ce n’est pas grave, ça arrive, je t’aime comme tu es. » Mais se dire toutes ses horreurs à soi-même, sous prétexte que ces phrases sont prononcées mentalement sans franchir nos lèvres, tout à coup c’est correct ? Si vous souhaitez apprendre à prendre soin de vous, commencez par la bienveillance. Et si vous ne savez par où commencer, parlez-vous comme vous parleriez à une amie, un petit frère ou une petite sœur. Lorsque vous vous regardez dans la glace tous les matins, pensez que c’est ellui que vous regardez, et envoyez-lui des messages positifs. C’est souvent plus facile d’être bienveillante avec les autres… en tout cas dans un premier temps ! La bienveillance… que pour les femmes ? La bienveillance, le bienêtre, ce sont des notions souvent considérées comme légères, accessoires… et féminines. J’ai d’ailleurs été frappée de voir le nombre d’hommes présents aux ateliers et conférences de la Yogiski Week. La plupart du temps, François était le seul. Et lors d’une conférence sur les émotions, François a pris la parole et mis très justement des mots sur ce phénomène. Les hommes, depuis qu’ils sont petits garçons, ont cette injonction de force, de puissance. Sois fort, un garçon ça ne pleure pas ! Ne fais pas ta fillette ! » Ou encore Tu joues comme une fille »… Les émotions, c’est pour les faibles. Et un garçon, c’est plus fort qu’une fille. Le manque de performance et la présence de douceur tout comme l’expression des émotions sont donc associés aux femmes. Un monde féminin qui est, sous-entendu, moins bien que celui des hommes. Hé oui, encore et toujours ce sexisme ordinaire ! Alors les hommes, ça ne pleure pas, ça ne dit pas que c’est triste ou angoissé. Un homme, ça explose, de joie ou de colère. C’est la seule façon de montrer ses émotions dans la force. Hé oui, le sexisme et le monde patriarcal ont des effets néfastes aussi sur les hommes. Si le sujet de la pression sociale sur les hommes vous intéresse, je vous invite à creuser le sujet avec le documentaire The mask you live in ». On y parle de définition de la masculinité par la société ici américaine, mais tout à fait transposable, de l’éducation que reçoivent les garçons et l’impact sur le développement personnel des hommes. Vraiment intéressant ! François et les derniers rayons du soleil Bon voyage et prends soin de toi Ce bon voyage et prends soin de toi », j’ai envie de vous l’envoyez à vous toutes qui lisez cet article. Et de vous rappeler que la vie est un voyage. Que chaque journée compte. Et qu’il ne faut pas attendre de sortir de ses habitudes pour commencer à prendre soin de soi. Il est souvent trop tard. Cela m’est déjà arrivé, et je suppose à plusieurs d’entre vous également, de tenir bon », de résister aux pressions du monde extérieur, de donner toute mon énergie pour atteindre un objectif quitte à m’oublier… puis, quand vient le moment de souffler, après la période intense, de réaliser à quel point je suis fatiguée, voire épuisée. Il est trop tard alors, le corps lâche prise et c’est là souvent que la maladie s’invite par la porte que nous lui avons laissée grande ouverte. N’attendons pas les voyages et les vacances pour prendre soin de soi. Cela peut se jouer à travers un petit rituel au quotidien, une attention à sa respiration tout au long de la journée, un moment libre de créativité que l’on se réserve comme un rendez-vous avec soi-même, une promenade en pleine nature chaque semaine… À vous de voir comment résonne en vous cette amulette Prends soin de toi ». Et de ne pas l’oublier en chemin. Je vous laisse avec cette citation qui mériterait d’être réécrite aujourd’hui sans sexisme ordinaire Quand chaque homme cherche le plus ce qui lui est utile à lui-même, alors les hommes sont le plus utiles les uns aux autres. Baruch Spinoza Prendre soin de soi, en voyage comme dans la vie Dans un prochain article, je vous reparlerai plus en détail de la Yogiski Week des Menuires qui m’a inspiré cet article, avec toutes les belles découvertes que nous y avons faites.

Avoirle sens de l'humour, c'est aussi être capable de mobiliser des capacités cognitives pour percevoir ce qui est drôle dans une situation qui ne l'est pas forcément au premier abord. En

Bienvenue sur Penser et Agir ! Depuis 2012 nous accompagnons les actifs de plus de 30 ans qui veulent prendre leur revanche sur la vie en développant un projet qui a du SENS. Après avoir accompagné plus de 2 500 clients, nous lançons une formation continue gratuite par e-mail Le club des Actionneurs. Entrez votre prénom et votre email sur la page suivante pour y accéder Cliquez ici pour vous inscrire gratuitement déjà + de 17 000 inscrits ! C’est gratuit, et vous pourrez vous désinscrire à tout moment. Prendre du recul, voilà un autre impératif pour une existence épanouie. En effet, nous avons souvent tendance à réagir de manière automatique. Quelle que soit la situation, nos émotions prennent souvent le dessus, et elles finissent par dicter notre conduite. Ce comportement n’est d’ailleurs pas relatif qu’aux sentiments. Parfois, nous prenons aussi l’habitude de tout juger sévèrement, à la seconde où les circonstances se sont passées. Et nous n’adoptons pas cette attitude qu’avec les autres. Une grande majorité d’entre nous se montrent très exigeants envers eux-mêmes. Une erreur, un échec, une mauvaise expérience, etc., ce ne sont pas les occasions gro6Doy.
  • eh9r0z0sm9.pages.dev/70
  • eh9r0z0sm9.pages.dev/376
  • eh9r0z0sm9.pages.dev/368
  • eh9r0z0sm9.pages.dev/366
  • eh9r0z0sm9.pages.dev/73
  • eh9r0z0sm9.pages.dev/332
  • eh9r0z0sm9.pages.dev/53
  • eh9r0z0sm9.pages.dev/56
  • eh9r0z0sm9.pages.dev/188
  • prends la vie dans le bon sens